TON ANNÉE : 5ème année
MATIERE DE PREDILECTION: Duel
JE VAIS ADORER LES COURS DE : Duel, Enchantements
JE VAIS HAÏR LES COURS DE : Divination, Histoire de la magie
MES OPTIONS : Légilimancie et Occlumancie
UNE PRÉFÉRENCE POUR LA MAISON ? NON

Kyle Kent a les yeux verts émeraude, un nez rectiligne, droit, assaisonné d'une bouche moyenne et d'un grand front orné de deux sourcils broussailleux . Kyle a des cheveux brun court qui rappellent ceux de son père légèrement punk dans sa jeunesse, chose qui n'a pas déteint sur son fils . Kyle est d'une stature qui s'inscrit dans la moyenne. Il aime porter un blouson en cuir avec une moustache afin de s'occasionner quelques délires plus ou moins graveleux avec ses camarades à l'esprit quelque peu tordu . En ce qui concerne son pantalon il aime porter des jeans ou  un pantalon de survêtement. Il n'est un secret pour personne qu'il a une certaine aversion pour l'uniforme de Poudlard, la robe lui allant très mal au teint...Non, je plaisante, il déteste simplement tout ce qui est trop ample, et sa robe n'échappe pas à la règle, puisqu'il s'agit de celle que sa mère portait en son temps, le recyclage étant d'usage dans sa famille, peu aisée.

En ce qui concerne son caractère, Kyle a toujours été quelqu'un de belliqueux, sadique, amateur de tout ce qui est « chercher des noises », sa spécialité tous domaines confondus. Sorti de la misère d'une banlieue miteuse par l'opportunité de venir à Poudlard, il a cependant gardé nombre de marques de son ancienne vie, notamment un caractère de chien et une agressivité hors concours, quelle que soit la catégorie . D'une politesse versatile et possédant un vocabulaire plus ou moins châtié selon la situation, on peut, dans son cas, parler d'être bipolaire . Atteint d'une incroyable scarabophobie compulsive (si quelqu'un connaît le mot exact pour décrire une peur maladive des scarabées, il serait bien aimable de me le signaler, parce que j'aimerais bien le connaître, ça m'arrangerait ^^) d'une rare violence, il est capable d'employer sous le coup de la peur des sortilèges qui se veulent interdits.  

Né dans un milieu modeste dans la banlieue de Manchester un soir de juillet dans le courant de l'année 1982, Kyle avait un père tout ce qu'il y a de plus moldu et une mère...tout ce qu'il y a de plus sorcière. Issu d'un milieu d'une pauvreté constante, ses seuls loisirs étaient le base-ball, la baston, la fumette et le poker. Il était à l'école de Desbury d'où il fut expulsé durant la huitième année de sa vie. Ce fut pour lui une grande  révélation que l'on pourrait traduire par « système scolaire, je t'emm****! » . Sa vie, d'une platitude exemplaire, ne fut dès lors plus semblable qu'à une calme rivière comprenant pour seuls rapides ses innombrables exclusions d'écoles ou d'instituts spécialisés dans les « cas difficiles », au grand dam de ses parents. Amitié ? Connais pas. Tranquilité ? Connais pas. Ambition ? Peut-être que si, en revanche...

En effet, depuis sa plus tendre enfance, et pour le plus grand ravissement de ses parents, Kyle est le centre d'un maelström de phénomènes surnaturels, paranormaux, pour ne pas dire « magiques ». Entre arriver à envoyer à dix mètres un de ses camarades qu'il ne supportait pas, et ce sans le toucher, ou même arriver à mettre le feu au paquet d'interrogations dans la main même du professeur, briser les vitres sans entrer en contact avec elles, et faire s'écraser un oiseau qui n'avait rien demandé en le transperçant, depuis une raisonnable distance de cent trente mètres, d'un morceau de ferraille, on peut dire que rien de tout ça est réellement...Magique. Cependant, jusque là, jamais il n'avait pensé qu'il puisse un jour se retrouver dans la situation qu'il vivait depuis quelques années maintenant : il était à Poudlard. L'école de sorcellerie. La seule d'Angleterre.  La lettre était arrivée un matin de juillet, et avait donné lieu à une cocasse réunion de famille au cours de laquelle son père avait du faire usage d'un sortilège impardonnable sur sa mère pour lui faire accepter que leur fils intègre une école dont elle ne savait rien, dans un endroit qu'elle ne conaissait pas.

C'est donc pleine de gaîeté au cœur que la brave femme accompagna son fils jusqu'à King's cross et qu'elle ne se rendit même pas compte qu'il traversait sans mal un pilier de briques. Bien sûr ! Tout est bien qui va bien, les oiseaux chantent, et mon fils vient de passer à travers trois tonnes cinq de cailloux, la vie est belle ! Une fois arrivé sur place, il n'eut qu'à observer cinq minutes autour de lui que les conneries habituelles qui lui étaient enseignées de par chez lui ne seraient pas à l'honneur. Accompagné, comme le peu d'élèves qui étaient la (il se demandait d'ailleurs comment aussi peu d'élèves pouvaient faire partie d'une école à la rentrée), par le proviseur adjoint et trois professeurs, il parcourut par le biais du plus ordinaire moyen de transport qu'il soit, à savoir une cheminée, la distance qui le séparait du chemin de traverse où il n'eut que le loisir de constater qu'il était pour la première fois de sa vie agréable de faire du shopping. Robe sur le dos, un sac de livres et un chaudron sur l'épaule droite,  un hibou grand duc dans une cage sur l'épaule gauche, une baguette en bois de vigne (qui avait manqué de lui ouvrir la tempe en fusant avec sa boite vers la porte alors qu'il en avait à peine franchi le perron) dans la poche interne de sa cape, il se retrouvait lâché dans un univers qu'il ne connaissait pas, dans une gigantesque salle au plafond étoilé, sous lequel flottaient nombre de bougies et des drapeaux noirs portant un blason comportant quatre parties. Et maintenant ? Dans quoi de bizarre allait-il être embarqué ?...